« Entre l’envie et le regret, il y a un point qui s’appelle le présent. Il faudrait s’entraîner à y tenir en équilibre comme ces jongleurs qui font tourner leurs balles, debout sur le goulot d’une bouteille. Les chiens y parviennent. »
Sylvain Tesson, Dans les forêts de Sibérie, Éd.Gallimard, 2011, p.162